Algérie- Quand la « locomotive de la réindustrialisation » tombe en panne - Maghreb Emergent
L’industrie automobile, présentée comme étant la locomotive de la « réindustrialisation » du pays aussi bien par les différents Gouvernements Sellal que par l’actuel vit déjà sa première crise.
Entamant à peine sa troisième année, elle bute sur ses contradictions qui commencent déjà à entraver son développement.
L’épisode du Groupe Tahkout qui a été accusé de faire « de l’importation déguisée » n’est finalement que le symptôme d’une crise qui risque de mettre fin aux « ambitions » industrielles du Gouvernement algérien et de ses alliés parmi les opérateurs économiques. Experts et économistes sont quasi unanimes sur ce point :
L’industrie automobile, présentée comme étant la locomotive de la « réindustrialisation » du pays aussi bien par les différents Gouvernements Sellal que par l’actuel vit déjà sa première crise.
Entamant à peine sa troisième année, elle bute sur ses contradictions qui commencent déjà à entraver son développement.
L’épisode du Groupe Tahkout qui a été accusé de faire « de l’importation déguisée » n’est finalement que le symptôme d’une crise qui risque de mettre fin aux « ambitions » industrielles du Gouvernement algérien et de ses alliés parmi les opérateurs économiques. Experts et économistes sont quasi unanimes sur ce point :