Washington - Dans une analyse publiée par le magazine américain "Forbes", l'expert US Christopher Coats a pointé du doigt "l'incertitude politique" et "la corruption institutionnelle" qui prévaut actuellement en Algérie, deux maux qui entravent toute opportunité d'investissements dans le pays.
L'Algérie se retrouve face à un legs de projets inaboutis, à la corruption institutionnelle, et à l'incertitude politique", souligne cet expert américain spécialisé dans les questions énergétiques dans la région méditerranéenne.
L'auteur de cette analyse, publiée vendredi par le magazine US dans sa version électronique, cite, à titre d'exemple, l'attaque terroriste contre le complexe gazier de Ain-Amenas, géré par les compagnies BP-Statoil, ce qui, a-t-il assuré, a poussé les deux firmes internationales à procéder à une "réévaluation de leur présence en Algérie".
Les constats faits par Christopher Coats rejoignent une récente étude publiée par "Rafik Hariri Center for the Middle East", relevant du prestigieux thint tank américain Atlantic Council, qui soutient que le système politique algérien est "miné par la corruption, le manque de transparence, une bureaucratie trop lourde et le crime".
"A cela, il faut ajouter une résurgence des activités terroristes, des manifestations violentes contre les structures de l'Etat dans les différentes régions du pays, ainsi que des affrontements à caractère ethnique entre la communauté (mozabite) berbérophone et celle des (Chaâmbas) arabophones à Ghardaia", soulignaient les auteurs de cette étude, Mohsin Khan et Karim Mezran.
Le grand public, faisaient-ils observer, est "en proie à l'apathie et à la désaffection qui se traduisent essentiellement par un taux de participation bas aux échéances électorales successives qu'a connues l'Algérie et une implication citoyenne qui fait défaut, sur fond d'une institution législative ineffective et des partis politiques faibles".
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L'auteur de cette analyse, publiée vendredi par le magazine US dans sa version électronique, cite, à titre d'exemple, l'attaque terroriste contre le complexe gazier de Ain-Amenas, géré par les compagnies BP-Statoil, ce qui, a-t-il assuré, a poussé les deux firmes internationales à procéder à une "réévaluation de leur présence en Algérie".
Les constats faits par Christopher Coats rejoignent une récente étude publiée par "Rafik Hariri Center for the Middle East", relevant du prestigieux thint tank américain Atlantic Council, qui soutient que le système politique algérien est "miné par la corruption, le manque de transparence, une bureaucratie trop lourde et le crime".
"A cela, il faut ajouter une résurgence des activités terroristes, des manifestations violentes contre les structures de l'Etat dans les différentes régions du pays, ainsi que des affrontements à caractère ethnique entre la communauté (mozabite) berbérophone et celle des (Chaâmbas) arabophones à Ghardaia", soulignaient les auteurs de cette étude, Mohsin Khan et Karim Mezran.
Le grand public, faisaient-ils observer, est "en proie à l'apathie et à la désaffection qui se traduisent essentiellement par un taux de participation bas aux échéances électorales successives qu'a connues l'Algérie et une implication citoyenne qui fait défaut, sur fond d'une institution législative ineffective et des partis politiques faibles".
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