“Je marche” est le rendez-vous donné par plusieurs Algériens vivant en France pour le 22 mars, à Paris veille du lancement de la campagne électorale. Des citoyens d’origine algérienne ont décidé de se montrer solidaires des militants en Algérie qui veulent dire non au 4eme mandat d’Abdelaziz Bouteflika.
La marche du 22 mars démarrera à 14h de la place de la République et tentera de diffuser plusieurs messages porté : “Non au 4eme mandat”, dans un premier temps mais aussi ”Non à la censure”, pour soutenir les militants du mouvement
Barakat ! algérien ou encore ”Non à l’abandon de Ghardaïa”, où une escalade de violence fait craindre le pire aux habitants de cette ville du sud de l’Algérie. ”Aujourd’hui, plus que jamais nous nous devons de créer un réel rapport de force populaire contre la mafia politico-militaro-financière et faire barrage aux BOUTEFLIKAS et à ceux qui l’ont ramené et imposé en 1999 en 2004, et en 2009″, indiquent les initiateurs de cette marche dans un communiqué appelant à se mobiliser.
Paris n’en est pas à sa première action. Très rapidement les Algériens de France se sont agrégés aux mouvements de contestation algériens avant même que la candidature d’Abdelaziz Bouteflika ne soit validée par le Conseil Constitutionnel. A Paris et Marseille les deux villes qui comptent les plus grandes communautés algériennes, des premiers sit-in ont été observés mais sans réellement réunir grand monde. La diaspora algérienne a décidé de s’impliquer et cette fois-ci l’appel est préparé depuis longtemps et pourrait réunir plus de monde. Les organisateurs de cette marche expliquent qu’ils ont deux exigences : “La dissolution de la police politique et le départ des BOUTEFLIKAS”
La marche du 22 mars démarrera à 14h de la place de la République et tentera de diffuser plusieurs messages porté : “Non au 4eme mandat”, dans un premier temps mais aussi ”Non à la censure”, pour soutenir les militants du mouvement
Paris n’en est pas à sa première action. Très rapidement les Algériens de France se sont agrégés aux mouvements de contestation algériens avant même que la candidature d’Abdelaziz Bouteflika ne soit validée par le Conseil Constitutionnel. A Paris et Marseille les deux villes qui comptent les plus grandes communautés algériennes, des premiers sit-in ont été observés mais sans réellement réunir grand monde. La diaspora algérienne a décidé de s’impliquer et cette fois-ci l’appel est préparé depuis longtemps et pourrait réunir plus de monde. Les organisateurs de cette marche expliquent qu’ils ont deux exigences : “La dissolution de la police politique et le départ des BOUTEFLIKAS”