Le Maroc n’a pas de leçons à recevoir en matière de respect des droits de l’homme surtout des pontes d’un régime algérien qui aurait fait durant la décennie noire (1992/2002) quelques 100.000 morts, tous des citoyens algériens.
Le bilan des victimes de ces années de braises, dépasserait selon le MAOL (Mouvement algérien des officiers libres), les 250.000 personnes.
C’est pour cette raison que le Roi Mohammed VI déclarait dans son discours de mercredi dernier à l'occasion du 38ème anniversaire de la Marche Verte, que Rabat n'avait pas à «recevoir de leçons», surtout de ceux (Algérie et Polisario) qui «bafouent systématiquement les droits de l'Homme».
Le harcèlement du régime algérien qui est à la tête de la "dernière dictature" en Afrique du Nord, contre le Maroc, sa souveraineté et ses symboles, trouve sa raison d’être, selon les observateurs, dans les visées hégémoniques des dirigeants algériens et de leur volonté d’imposer à tout prix leur leadership sur toute la région aux dépens du Maroc et du peuple marocain.
Faut-il rappeler que les mouvances terroristes qui sévissent et imposent la terreur dans toute la bande du Sahel (GIA, le GSPC et AQMI) sont une pure fabrication du puissant département de renseignement de sécurité (DRS- Renseignements militaires) algérien à la tête duquel s’impose de longue date, le redoutable général Mohamed Lamine Mediène, alias Toufik.
L'implication du DRS dans le terrorisme et ses actes déstabilisateurs contre les pays voisins, n’est plus un mystère pour personne et surtout pour les Algériens qui en savent un peu plus sur les pratiques expéditives de ces fameux services.
La plus part des émirs qui chapotent les groupes terroristes en activité dans le Sahel et dans les camps de Tindouf, sont des Algériens nommés par les officiers du DRS qui les financent et leur donnent régulièrement les ordres à suivre comme fut le cas durant la rébellion jihadiste au Mali en 2012.
D’ailleurs, l'implication avérée du DRS dans l'attaque terroriste perpétrée en janvier dernier contre le site gazier d'In Amenas, où plusieurs occidentaux ont été assassinés, a précipité la récente restructuration du fameux Département.
Un spécialiste américain des questions de sécurité nationale au prestigieux US Naval War College et ancien officier des services de renseignements US, John R. Schindler, rappelle à ce titre, que le chef de la sécurité malienne en charge de lutter contre les infiltrations des jihadistes algériens sur le territoire malien avait déclaré à la presse en 2009 qu' «au cœur d'AQMI se trouve le DRS ». Malheureusement, quelque temps après, le responsable sécuritaire malien avait été retrouvé mort. Sa liquidation avait été imputée à des "individus armés inconnus", mais en réalité c’est l’œuvre des agents du DRS.
Les pontes du régime algérien qui ont à portée de main la manne pétrolière, ne se contentent plus de leurs lâches besognes secrètes, mais ils arrosent généreusement toutes les ONG et associations internationales et les lobbyistes à la quête de l’argent facile, pour mener campagne contre le Maroc.
Devant l’hostilité manifeste du régime algérien, les Marocains ne pouvaient plus rester dans la défensive. Il était temps pour remettre les pendules à l’heure.
Le harcèlement du régime algérien qui est à la tête de la "dernière dictature" en Afrique du Nord, contre le Maroc, sa souveraineté et ses symboles, trouve sa raison d’être, selon les observateurs, dans les visées hégémoniques des dirigeants algériens et de leur volonté d’imposer à tout prix leur leadership sur toute la région aux dépens du Maroc et du peuple marocain.
Faut-il rappeler que les mouvances terroristes qui sévissent et imposent la terreur dans toute la bande du Sahel (GIA, le GSPC et AQMI) sont une pure fabrication du puissant département de renseignement de sécurité (DRS- Renseignements militaires) algérien à la tête duquel s’impose de longue date, le redoutable général Mohamed Lamine Mediène, alias Toufik.
L'implication du DRS dans le terrorisme et ses actes déstabilisateurs contre les pays voisins, n’est plus un mystère pour personne et surtout pour les Algériens qui en savent un peu plus sur les pratiques expéditives de ces fameux services.
La plus part des émirs qui chapotent les groupes terroristes en activité dans le Sahel et dans les camps de Tindouf, sont des Algériens nommés par les officiers du DRS qui les financent et leur donnent régulièrement les ordres à suivre comme fut le cas durant la rébellion jihadiste au Mali en 2012.
D’ailleurs, l'implication avérée du DRS dans l'attaque terroriste perpétrée en janvier dernier contre le site gazier d'In Amenas, où plusieurs occidentaux ont été assassinés, a précipité la récente restructuration du fameux Département.
Un spécialiste américain des questions de sécurité nationale au prestigieux US Naval War College et ancien officier des services de renseignements US, John R. Schindler, rappelle à ce titre, que le chef de la sécurité malienne en charge de lutter contre les infiltrations des jihadistes algériens sur le territoire malien avait déclaré à la presse en 2009 qu' «au cœur d'AQMI se trouve le DRS ». Malheureusement, quelque temps après, le responsable sécuritaire malien avait été retrouvé mort. Sa liquidation avait été imputée à des "individus armés inconnus", mais en réalité c’est l’œuvre des agents du DRS.
Les pontes du régime algérien qui ont à portée de main la manne pétrolière, ne se contentent plus de leurs lâches besognes secrètes, mais ils arrosent généreusement toutes les ONG et associations internationales et les lobbyistes à la quête de l’argent facile, pour mener campagne contre le Maroc.
Devant l’hostilité manifeste du régime algérien, les Marocains ne pouvaient plus rester dans la défensive. Il était temps pour remettre les pendules à l’heure.