La marocanité du Sahara est basée sur une double légitimité historique et sur le terrain, une vérité qui a été consolidée par le plan marocain d'autonomie, qualifié par la Communauté internationale de sérieux, réaliste et crédible, affirme le chercheur mexicain en sciences politiques, Roman Lopez Villicana.
Dans un ouvrage intitulé «Le problème du Sahara : une perspective géostratégique», publié récemment au Mexique, Lopez souligne que le Maroc se base pour la défense de la
marocanité de son Sahara sur des faits et des données historiques inaliénables qui prouvent les liens séculaires solides qui liaient les tribus sahraouies aux Rois et Sultans Alaouites, notamment à travers le Pacte de la Beia (allégeance).
Lopez indique aussi que les provinces du Sud connaissent depuis leur récupération par le Maroc un grand développement qualitatif comme en témoigne les taux de scolarisation et d'alphabétisation, ainsi que l'intégration et la grande contribution de ces provinces à l'économie nationale, outre les énormes investissements débloqués pour le renforcement des infrastructures dans la région.
Dans cet ouvrage de 174 pages de format moyen, le chercheur mexicain jette la lumière sur les liens historiques liant les provinces sahariennes à l'Etat marocain, ainsi que sur les facteurs d'ordre régional et international ayant contribué à faire perdurer ce conflit.
Il présente aussi le plan d'autonomie dans le cadre de la souveraineté marocaine proposé par le Royaume pour parvenir à une solution politique à ce dossier, une proposition qui a eu un large écho favorable auprès de la Communauté internationale qui a été unanime à saluer les grands efforts consentis par le Royaume pour la recherche d'une solution politique à ce conflit dans le cadre des résolutions du Conseil de sécurité.
Le chercheur mexicain rappelle par ailleurs que le conflit du Sahara concerne en premier lieu le Maroc et l'Algérie qui abrite et soutient le front du polisario, une tentative à travers laquelle Alger vise, écrit-il, à créer une entité dans la région qui servira ses intérêts et à avoir ainsi un débouché sur l'Atlantique qui répondra à ses ambitions hégémonistes.
Lopez évoque dans ce livre les défis sécuritaires auxquels fait face la région, notamment sahélo-saharienne, avec la prolifération du terrorisme, du trafic d'armes et des stupéfiants et de l'immigration clandestine.
Dans sa préface, Lopez précise que cet ouvrage se veut une approche géostratégique de ce conflit, ajoutant que l'idée de la réalisation de ce travail a été dictée par la nécessité de faire connaître à l'opinion publique mexicaine la réalité de ce conflit qui n'a que trop duré.
Le livre se compose de dix chapitres qui évoquent les principes théoriques pour mieux comprendre le conflit autour du Sahara marocain, la question de la province dans l'histoire du Maroc précolonial, les liens de la Beia (allégeance) liant les Rois de la dynastie Alaouite aux populations des provinces du Sud, les prémices du conflit et ses parties prenantes, les rapports des Nations unies avec le dossier du Sahara, le grand développement que connaissent ces provinces depuis leur récupération par le Maroc et les liens du Mexique avec ce dossier.
Roman Lopez Villicana, qui occupe le poste de chef de la division des relations internationales et des sciences politiques à l'Université des Amériques à Puebla, avait effectué une visite de plusieurs mois dans les provinces du Sud au cours de laquelle il a pris connaissance de la réalité de ce conflit, chose qui l'a aidé dans la réalisation de cet ouvrage.
Dans un ouvrage intitulé «Le problème du Sahara : une perspective géostratégique», publié récemment au Mexique, Lopez souligne que le Maroc se base pour la défense de la
Lopez indique aussi que les provinces du Sud connaissent depuis leur récupération par le Maroc un grand développement qualitatif comme en témoigne les taux de scolarisation et d'alphabétisation, ainsi que l'intégration et la grande contribution de ces provinces à l'économie nationale, outre les énormes investissements débloqués pour le renforcement des infrastructures dans la région.
Dans cet ouvrage de 174 pages de format moyen, le chercheur mexicain jette la lumière sur les liens historiques liant les provinces sahariennes à l'Etat marocain, ainsi que sur les facteurs d'ordre régional et international ayant contribué à faire perdurer ce conflit.
Il présente aussi le plan d'autonomie dans le cadre de la souveraineté marocaine proposé par le Royaume pour parvenir à une solution politique à ce dossier, une proposition qui a eu un large écho favorable auprès de la Communauté internationale qui a été unanime à saluer les grands efforts consentis par le Royaume pour la recherche d'une solution politique à ce conflit dans le cadre des résolutions du Conseil de sécurité.
Le chercheur mexicain rappelle par ailleurs que le conflit du Sahara concerne en premier lieu le Maroc et l'Algérie qui abrite et soutient le front du polisario, une tentative à travers laquelle Alger vise, écrit-il, à créer une entité dans la région qui servira ses intérêts et à avoir ainsi un débouché sur l'Atlantique qui répondra à ses ambitions hégémonistes.
Lopez évoque dans ce livre les défis sécuritaires auxquels fait face la région, notamment sahélo-saharienne, avec la prolifération du terrorisme, du trafic d'armes et des stupéfiants et de l'immigration clandestine.
Dans sa préface, Lopez précise que cet ouvrage se veut une approche géostratégique de ce conflit, ajoutant que l'idée de la réalisation de ce travail a été dictée par la nécessité de faire connaître à l'opinion publique mexicaine la réalité de ce conflit qui n'a que trop duré.
Le livre se compose de dix chapitres qui évoquent les principes théoriques pour mieux comprendre le conflit autour du Sahara marocain, la question de la province dans l'histoire du Maroc précolonial, les liens de la Beia (allégeance) liant les Rois de la dynastie Alaouite aux populations des provinces du Sud, les prémices du conflit et ses parties prenantes, les rapports des Nations unies avec le dossier du Sahara, le grand développement que connaissent ces provinces depuis leur récupération par le Maroc et les liens du Mexique avec ce dossier.
Roman Lopez Villicana, qui occupe le poste de chef de la division des relations internationales et des sciences politiques à l'Université des Amériques à Puebla, avait effectué une visite de plusieurs mois dans les provinces du Sud au cours de laquelle il a pris connaissance de la réalité de ce conflit, chose qui l'a aidé dans la réalisation de cet ouvrage.