Pour la première fois, l’Algérie aura un ministre de la Défense nationale de plein exercice. Selon nos informations, le général de corps d’armée Ahmed Gaid Salah, actuellement chef d’état-major de l’ANP, est nommé ministre de la Défense dans le nouveau gouvernement.
Jusqu’à présent, ce poste était occupé par le président de la République qui nommait
un ministre délégué à la Défense sans réels pouvoirs.
On ne parle que de ça dans les cercles militaires, la direction centrale de la sécurité de l’armée (DCSA) qui était sous l’autorité du Département du Renseignement et de la Sécurité (DRS) passe sous contrôle du chef d’état-major de l’armée Ahmed Gaïd Salah.
Le service d’investigation de la police du DRS passe sous l’autorité de la justice militaire, qui elle même est sous le commandement du chef d’état-major Ahmed Gaïd Salah. Mais ce n’est pas tout, le service de presse également passe sous contrôle de l’état-major.
Pourquoi ces trois entités sont amputés du DRS? Il n’y a aucune explication stratégique mais il en existe une qui elle, est politique. Oui, aussi incroyable que cela puisse paraître c’est bien une tentative d’affaiblissement en bonne et due forme du général de corps d’armée Mohamed Lamine Mediène qui dirige le Département du Renseignement et de la sécurité depuis 1990.
Dans quel but? La présidentielle arrive, certains ont peur de l’avant et de l’après présidentielle, de l’avant car certains redoutent les enquêtes en cours et qui pourraient ternir l’image de certains candidats, de l’après car les mêmes ont peurs des représailles et des vengeances. Tout ceci est une opération directement piloté depuis par EL-Mouradia et on se doute bien de l’ombre qui plane derrière ces agissements obscurs.
Ceci ne restera pas sans réponse du camps d’en face, on ne reste pas à la tête du renseignement plus de deux décennies sans avoirs dans les placards de quoi répliqué à une tentative de déstabilisation. On ne peut que s’inquiéter devant pareilles méthodes et se demandé dans quelles conditions va se dérouler la prochaine présidentielle? Alors que nous n’avons pas finis la guerre contre les terroristes, que nos soldats il y a encore quelques jours ont payer un lourd tribut parce que l’armée n’a toujours pas procédé à l’achat de véhicules blindés pour protégé les convois militaires des bombes artisanales.
On ne peut que désespérer des gens qui sont à la tête de l’état, qui laisse mourir ces soldats et préfèrent passer son temps dans les messes basses afin de s’accaparer du pouvoir et de la rente pétrolière.
Jusqu’à présent, ce poste était occupé par le président de la République qui nommait
On ne parle que de ça dans les cercles militaires, la direction centrale de la sécurité de l’armée (DCSA) qui était sous l’autorité du Département du Renseignement et de la Sécurité (DRS) passe sous contrôle du chef d’état-major de l’armée Ahmed Gaïd Salah.
Le service d’investigation de la police du DRS passe sous l’autorité de la justice militaire, qui elle même est sous le commandement du chef d’état-major Ahmed Gaïd Salah. Mais ce n’est pas tout, le service de presse également passe sous contrôle de l’état-major.
Pourquoi ces trois entités sont amputés du DRS? Il n’y a aucune explication stratégique mais il en existe une qui elle, est politique. Oui, aussi incroyable que cela puisse paraître c’est bien une tentative d’affaiblissement en bonne et due forme du général de corps d’armée Mohamed Lamine Mediène qui dirige le Département du Renseignement et de la sécurité depuis 1990.
Dans quel but? La présidentielle arrive, certains ont peur de l’avant et de l’après présidentielle, de l’avant car certains redoutent les enquêtes en cours et qui pourraient ternir l’image de certains candidats, de l’après car les mêmes ont peurs des représailles et des vengeances. Tout ceci est une opération directement piloté depuis par EL-Mouradia et on se doute bien de l’ombre qui plane derrière ces agissements obscurs.
Ceci ne restera pas sans réponse du camps d’en face, on ne reste pas à la tête du renseignement plus de deux décennies sans avoirs dans les placards de quoi répliqué à une tentative de déstabilisation. On ne peut que s’inquiéter devant pareilles méthodes et se demandé dans quelles conditions va se dérouler la prochaine présidentielle? Alors que nous n’avons pas finis la guerre contre les terroristes, que nos soldats il y a encore quelques jours ont payer un lourd tribut parce que l’armée n’a toujours pas procédé à l’achat de véhicules blindés pour protégé les convois militaires des bombes artisanales.
On ne peut que désespérer des gens qui sont à la tête de l’état, qui laisse mourir ces soldats et préfèrent passer son temps dans les messes basses afin de s’accaparer du pouvoir et de la rente pétrolière.