Le Centre RFK et l'IWMF (International Women Media Foundation) ont décidé de "pactiser avec les séparatistes du polisario", bien qu'ils aient effectué librement plusieurs voyages dans les provinces du sud, où ils ont constaté le développement tous azimuts que connait cette partie du Royaume, souligne Mourad Beni-Ich, un expert international des questions stratégiques établi en Virginie.
"Le Centre RFK et l'IWMF ont fait plusieurs voyages au sud du Maroc où ils ont été témoins d'un développement substantiel et la façon dont le gouvernement a investi de manière assidue pour développer la région, promouvoir une vie décente pour les Sahraouis et créer des opportunités d'emplois pour eux", a-t-il indiqué dans un article publié lundi sur le site interent "Standard Newswire".
M. Beni-Ich a regretté que ces deux ONG ont, néanmoins, "décidé de pactiser avec les séparatistes en publiant des articles biaisés qui ne reflètent en rien la réalité sur le terrain".
L'IWMF, a rappelé M. Beni-Ich, avait organisé jeudi dernier à Washington une rencontre sur la question du Sahara, au cours de laquelle "les panélistes femmes auteurs desdits articles ont avoué n'avoir jamais visité les camps de Tindouf", estimant qu'en dépit de cet handicap majeur "elles s'attendaient à ce que leurs rapports soient crédibles et équilibrés". "Elles ont, toutefois, négligé de mentionner que de nombreuses organisations internationales avaient conclu que le front "polisario" est devenu le pourvoyeur principal en militants au profit d'Al-Qaïda au Maghreb islamique (AQMI), en plus de son implication dans le trafic de drogue et la traite des êtres humains", a fait observer l'auteur de l'article.
Le monde entier, a-t-il rappelé, a pu voir ses mercenaires combattre aux côtés d'un Kadhafi en fin de règne, celui là même qui avait soutenu et financé les séparatistes du "polisario". Après l'élimination de Kadhafi "les dirigeants du "front polisario" ont été désorientés et ont tout mis en œuvre pour saboter la proposition marocaine d'autonomie au Sahara, considérée par la communauté internationale comme la solution la plus raisonnable et la plus crédible pour mettre fin à ce conflit qui n'a que trop duré.
"Le Royaume du Maroc a toujours oeuvré à la promotion de la paix dans le monde, plus particulièrement en Afrique du Nord, et la communauté internationale doit se rendre compte maintenant et plus que jamais qu'il est vital pour la paix et la stabilité dans le monde de soutenir le Maroc dans ses efforts pour mettre fin au conflit du Sahara", a souligné M. Beni-Ich. Il a, dans ce contexte, mis en garde contre le "front polisario", qui "ressemble ainsi davantage à une organisation terroriste depuis l'implication avérée de plusieurs de ses membres dans des attaques terroristes et des enlèvements au Sahel, au Nord-Mali et en Mauritanie".
M. Beni-Ich a regretté que ces deux ONG ont, néanmoins, "décidé de pactiser avec les séparatistes en publiant des articles biaisés qui ne reflètent en rien la réalité sur le terrain".
L'IWMF, a rappelé M. Beni-Ich, avait organisé jeudi dernier à Washington une rencontre sur la question du Sahara, au cours de laquelle "les panélistes femmes auteurs desdits articles ont avoué n'avoir jamais visité les camps de Tindouf", estimant qu'en dépit de cet handicap majeur "elles s'attendaient à ce que leurs rapports soient crédibles et équilibrés". "Elles ont, toutefois, négligé de mentionner que de nombreuses organisations internationales avaient conclu que le front "polisario" est devenu le pourvoyeur principal en militants au profit d'Al-Qaïda au Maghreb islamique (AQMI), en plus de son implication dans le trafic de drogue et la traite des êtres humains", a fait observer l'auteur de l'article.
Le monde entier, a-t-il rappelé, a pu voir ses mercenaires combattre aux côtés d'un Kadhafi en fin de règne, celui là même qui avait soutenu et financé les séparatistes du "polisario". Après l'élimination de Kadhafi "les dirigeants du "front polisario" ont été désorientés et ont tout mis en œuvre pour saboter la proposition marocaine d'autonomie au Sahara, considérée par la communauté internationale comme la solution la plus raisonnable et la plus crédible pour mettre fin à ce conflit qui n'a que trop duré.
"Le Royaume du Maroc a toujours oeuvré à la promotion de la paix dans le monde, plus particulièrement en Afrique du Nord, et la communauté internationale doit se rendre compte maintenant et plus que jamais qu'il est vital pour la paix et la stabilité dans le monde de soutenir le Maroc dans ses efforts pour mettre fin au conflit du Sahara", a souligné M. Beni-Ich. Il a, dans ce contexte, mis en garde contre le "front polisario", qui "ressemble ainsi davantage à une organisation terroriste depuis l'implication avérée de plusieurs de ses membres dans des attaques terroristes et des enlèvements au Sahel, au Nord-Mali et en Mauritanie".