En feuilletant le net, un article m'interpelle sur le site de Algérie presse service (APS), quel fut mon étonnement de voir que cette agence de presse gouvernementale parle avec autant véhémence du Sahara occidental comme si c'était un bout de territoire algérien que le Maroc occupe.
En date du 27 avril 2013, pas moins de sept articles ont été réservé au Sahara occidental en faveur des séparatistes du Polisario et pas un seul en faveur du Maroc dans cette histoire du Sahara depuis une quarantaine d'années.
Si l'Algérie comme elle le prétend n'est pas partie prenante dans cette histoire et qu'elle cherche une solution à ce conflit que Boumedienne a légué aux dirigeants actuels algériens, pourquoi n'essaie t'elle pas de rapprocher les thèses des parties en conflit.
Pour qui prennent il les personnes qui les lisent ? Tout le monde sait que l'Algérie est derrière cette histoire du Sahara et qu'il suffit d'un ordre de la mafia qui gère ce pays pour que les Maghrébins réapprennent a ne plus se haïr.
Les dirigeants algériens refusent toujours d’admettre que leur pays est directement impliqué dans le conflit du Sahara Occidental. Mais des voix de plus en plus nombreuses s’élèvent pour affirmer qu’il ne peut y avoir de solution à ce litige territorial sans l’association de l’Algérie qui a été avec la Libye de Mouammar Kadhafi à l’origine de la création du Front Polisario et ensuite de la République Sahraouie (RASD), dont les QG se trouvent depuis toujours sur le sol algérien.
A chaque fois que le Maroc prend une initiative dans le sens de l’apaisement, Alger répond par une virulence accrue et une fin de non recevoir tonitruante. Ainsi, depuis quatre ans, Rabat tient le discours suivant : laissons la question du Sahara au sein de l’ONU, chaque partie défendant son point de vue. Mais normalisons nos relations, ouvrons les frontières et mettons en marche la construction du Maghreb arabe. Ce discours n’est pas vertueux, il est rationnel. La situation actuelle handicape le développement de toute la région, dont les peuples souffrent, y compris en Algérie où les milliards d’excédents ne peuvent cacher les déficiences. A cela l’Algérie répond par une série d’outrances.
Le Maroc obtient un statut avancé avec l’Union européenne, Alger dénonce «un accord avec les deux pays occupants de la région, le Maroc et Israël»! Deux étudiants sahraouis se font écraser par un car, et le représentant d’Alger à l’ONU dénonce «un véritable crime d’Etat»! Les mêmes autorités algériennes dénoncent partout le Maroc en tant qu’Etat occupant «qui procède à un pillage systématique des ressources du Sahara occidental»! Et c’est encore toute honte bue que l’Algérie parle de «violations quotidiennes, massives, des droits d e l’homme contre le peuple sahraoui résistant». Nous sommes face à un véritable délire.
Je vous laisse le soin d’apprécier la haine qu'a le pouvoir algérien envers le Maroc :
En date du 27 avril 2013, pas moins de sept articles ont été réservé au Sahara occidental en faveur des séparatistes du Polisario et pas un seul en faveur du Maroc dans cette histoire du Sahara depuis une quarantaine d'années.
Si l'Algérie comme elle le prétend n'est pas partie prenante dans cette histoire et qu'elle cherche une solution à ce conflit que Boumedienne a légué aux dirigeants actuels algériens, pourquoi n'essaie t'elle pas de rapprocher les thèses des parties en conflit.
Pour qui prennent il les personnes qui les lisent ? Tout le monde sait que l'Algérie est derrière cette histoire du Sahara et qu'il suffit d'un ordre de la mafia qui gère ce pays pour que les Maghrébins réapprennent a ne plus se haïr.
Les dirigeants algériens refusent toujours d’admettre que leur pays est directement impliqué dans le conflit du Sahara Occidental. Mais des voix de plus en plus nombreuses s’élèvent pour affirmer qu’il ne peut y avoir de solution à ce litige territorial sans l’association de l’Algérie qui a été avec la Libye de Mouammar Kadhafi à l’origine de la création du Front Polisario et ensuite de la République Sahraouie (RASD), dont les QG se trouvent depuis toujours sur le sol algérien.
A chaque fois que le Maroc prend une initiative dans le sens de l’apaisement, Alger répond par une virulence accrue et une fin de non recevoir tonitruante. Ainsi, depuis quatre ans, Rabat tient le discours suivant : laissons la question du Sahara au sein de l’ONU, chaque partie défendant son point de vue. Mais normalisons nos relations, ouvrons les frontières et mettons en marche la construction du Maghreb arabe. Ce discours n’est pas vertueux, il est rationnel. La situation actuelle handicape le développement de toute la région, dont les peuples souffrent, y compris en Algérie où les milliards d’excédents ne peuvent cacher les déficiences. A cela l’Algérie répond par une série d’outrances.
Le Maroc obtient un statut avancé avec l’Union européenne, Alger dénonce «un accord avec les deux pays occupants de la région, le Maroc et Israël»! Deux étudiants sahraouis se font écraser par un car, et le représentant d’Alger à l’ONU dénonce «un véritable crime d’Etat»! Les mêmes autorités algériennes dénoncent partout le Maroc en tant qu’Etat occupant «qui procède à un pillage systématique des ressources du Sahara occidental»! Et c’est encore toute honte bue que l’Algérie parle de «violations quotidiennes, massives, des droits d e l’homme contre le peuple sahraoui résistant». Nous sommes face à un véritable délire.
Je vous laisse le soin d’apprécier la haine qu'a le pouvoir algérien envers le Maroc :