Les services de sécurité algériens viennent d’annoncer l’arrestation des ravisseurs des travailleurs humanitaires de Rabouni à Tindouf. Une info largement médiatisée par leurs rejetons du polisario qui s’en attribuent la paternité via leur soit disant président du parlement
La première question qu’on est en droit de se poser est : qui a procédé à ces arrestations ?
Si les mis en cause sont les services algériens, Alger devra répondre devant la communauté internationale, et surtout devant les familles des personnes enlevées, car les faits se sont déroulés sur son territoire et dans une zone ultra sécurisée.
Si ceux sont les rejetons du polisario, la preuve est faite que Tindouf n’est pas un territoire algérien et donc sous contrôle de mercenaires et de terroristes
Au final qui croire les autorités algériennes, galonnés et civiles ou leurs affidés ? la question reste posée.
Quoiqu’il en soit, le Mali et la Mauritanie ont réagi avec fermeté aux incursions criminelles répétées des éléments du polisario sur leurs territoires et l’accusent clairement de complicité active avec les terroristes d’AQMI en vue de les déstabiliser.
N’est-ce pas des membres du polisario qui ont dernièrement assassiné froidement un homme et kidnappé 3 autres au nord du Mali dans le secteur d’El Hank à moins de 80 kms de la frontière algérienne ?
C’est pourquoi, Bamako vient- de lancer une sévère mise en garde à l’Algérie pour que cette dernière mette fin à toute tentative directe ou indirecte de trouble au Mali ou de manipulation des populations Touaregs pour en tirer un profit quelconque.
En effet, ce vendredi 16 décembre 2011, Bamako vient d’avertir officiellement qu’il n’acceptera plus la violation de son intégrité territoriale par le polisario et d’exprimer sa vive sa grande colère face aux accusations fallacieuses à répétition du polisario contre le Mali. Les responsables maliens ont également demandé fermement aux soit disant responsables de ce mouvement de nettoyer devant leur porte et de neutraliser la branche d’AQMI qui s’est installée en toute impunité dans les camps de la honte de Tindouf.
Le Mali et le peuple malien aspirent à vivre en sécurité avec tous ses voisins mais refusent d’être au service d’un quelconque pays. pour des raisons de fiasco diplomatique, régionale, économique ou de politique interne, in fine, l’Algérie.
En conclusion les généraux et les dirigeants algériens devraient réfléchir à deux fois avant d’actionner leurs réseaux d’intoxication qui rappellent ceux de la guerre froide et qui ne sont plus d’ailleurs d’actualité, sauf dans leur pays, et d’arrêter de faire la grosse courbette pour se refaire une virginité internationale.
Je leur conseille vivement de se rendre chez leur psychiatre en Algérie, surtout pas à l’étranger, sinon on pourrait se retrouver dans une nouvelle affaire du Général Nezzar en Suisse.
La première question qu’on est en droit de se poser est : qui a procédé à ces arrestations ?
Si les mis en cause sont les services algériens, Alger devra répondre devant la communauté internationale, et surtout devant les familles des personnes enlevées, car les faits se sont déroulés sur son territoire et dans une zone ultra sécurisée.
Si ceux sont les rejetons du polisario, la preuve est faite que Tindouf n’est pas un territoire algérien et donc sous contrôle de mercenaires et de terroristes
Au final qui croire les autorités algériennes, galonnés et civiles ou leurs affidés ? la question reste posée.
Quoiqu’il en soit, le Mali et la Mauritanie ont réagi avec fermeté aux incursions criminelles répétées des éléments du polisario sur leurs territoires et l’accusent clairement de complicité active avec les terroristes d’AQMI en vue de les déstabiliser.
N’est-ce pas des membres du polisario qui ont dernièrement assassiné froidement un homme et kidnappé 3 autres au nord du Mali dans le secteur d’El Hank à moins de 80 kms de la frontière algérienne ?
C’est pourquoi, Bamako vient- de lancer une sévère mise en garde à l’Algérie pour que cette dernière mette fin à toute tentative directe ou indirecte de trouble au Mali ou de manipulation des populations Touaregs pour en tirer un profit quelconque.
Le Mali et le peuple malien aspirent à vivre en sécurité avec tous ses voisins mais refusent d’être au service d’un quelconque pays. pour des raisons de fiasco diplomatique, régionale, économique ou de politique interne, in fine, l’Algérie.
En conclusion les généraux et les dirigeants algériens devraient réfléchir à deux fois avant d’actionner leurs réseaux d’intoxication qui rappellent ceux de la guerre froide et qui ne sont plus d’ailleurs d’actualité, sauf dans leur pays, et d’arrêter de faire la grosse courbette pour se refaire une virginité internationale.
Je leur conseille vivement de se rendre chez leur psychiatre en Algérie, surtout pas à l’étranger, sinon on pourrait se retrouver dans une nouvelle affaire du Général Nezzar en Suisse.