Après avoir longtemps soutenu Kadafi et s’être opposé fermement au CNT ( Conseil National de Transition) libyen, le régime algérien cherche actuellement à arranger les choses. Selon des indiscrétions diplomatiques, Bouteflika a demandé au premier ministre Qatari, Cheikh Hamad Ibn Jassim Ibn Jaber Al Thani, d’intervenir en médiateur pour renouer les contacts.
Pendant des mois, la diplomatie algérienne s’est mise du coté du colonel déchu en mobilisant l’Union africaine et en s’isolant au niveau international, y compris au sein de la ligue arabe. Pendant des mois, le régime a mobilisé ses médias pour accuser le CNT de presque tous les maux.
Dans le même temps, le régime algérien s’est également attaqué, soit directement en inventant une crise de visa, soit par ses médias, au Qatar qui avait pris dès le début position pour le CNT.
Après la chute de Tripoli et la fuite de Kadafi, suivi par la reconnaissance internationale du nouveau régime en Libye, y compris à l’ONU, l’Algérie se retrouve isolé, notamment dans la région.
Selon les mêmes indiscrétions, les représentants libyens qui avaient rencontré Mourad Medelci, le ministre algérien des affaires étrangères, tant au Caire qu’à Washington n’ont pas mâché leurs mots. Ils ont clairement indiqué à Medelci qu’ils n’avaient pas besoin de sa reconnaissance officielle et qu’ils faisaient la distinction entre la position officielle négative et la sympathie naturelle de la population algérienne. La semaine dernière, les nouvelles autorités libyennes, ont accueillit pendant plusieurs jours une délégation algérienne ( la première) du mouvement Rachad, un mouvement d’opposition, dont l’un des membres est intervenu en direct sur Aljazeera, à partir de Tripoli.
Revenant, tardivement à la réalité, le régime algérien, tente de desserrer l’étau diplomatique dans lequel son aveuglement l’a placé en quémandant auprès du Qatar une médiation pour tenter de restaurer un dialogue avec la Libye.
Comme prévu par de nombreux analystes et observateurs, la diplomatie algérienne, boit la calice jusqu’à la lie.
Pendant des mois, la diplomatie algérienne s’est mise du coté du colonel déchu en mobilisant l’Union africaine et en s’isolant au niveau international, y compris au sein de la ligue arabe. Pendant des mois, le régime a mobilisé ses médias pour accuser le CNT de presque tous les maux.
Dans le même temps, le régime algérien s’est également attaqué, soit directement en inventant une crise de visa, soit par ses médias, au Qatar qui avait pris dès le début position pour le CNT.
Après la chute de Tripoli et la fuite de Kadafi, suivi par la reconnaissance internationale du nouveau régime en Libye, y compris à l’ONU, l’Algérie se retrouve isolé, notamment dans la région.
Selon les mêmes indiscrétions, les représentants libyens qui avaient rencontré Mourad Medelci, le ministre algérien des affaires étrangères, tant au Caire qu’à Washington n’ont pas mâché leurs mots. Ils ont clairement indiqué à Medelci qu’ils n’avaient pas besoin de sa reconnaissance officielle et qu’ils faisaient la distinction entre la position officielle négative et la sympathie naturelle de la population algérienne. La semaine dernière, les nouvelles autorités libyennes, ont accueillit pendant plusieurs jours une délégation algérienne ( la première) du mouvement Rachad, un mouvement d’opposition, dont l’un des membres est intervenu en direct sur Aljazeera, à partir de Tripoli.
Revenant, tardivement à la réalité, le régime algérien, tente de desserrer l’étau diplomatique dans lequel son aveuglement l’a placé en quémandant auprès du Qatar une médiation pour tenter de restaurer un dialogue avec la Libye.
Comme prévu par de nombreux analystes et observateurs, la diplomatie algérienne, boit la calice jusqu’à la lie.