Genève, 16/06/11- L'ONG OCAPROCE a dénoncé, jeudi, devant le Conseil des droits de l'homme (CDH) de l'ONU la répression brutale par les milices séparatistes du polisario de jeunes ayant manifesté, récemment, dans les camps de Tindouf, pour dénoncer leurs conditions de vie et l'absence de la liberté d'expression.
Récemment, des jeunes sahraouis qui avaient l'intention de manifester pour demander de meilleures conditions de vie et le droit de choisir librement leur lieu de résidence ont été brutalement dispersées par les milices du Polisario, a indiqué M. Dahy El Bachir, qui s'exprimait au nom de cette ONG, en plénière de la 17ème session du Conseil.
L'ONG a fait remarquer que ces jeunes entendaient militer pour leurs droits fondamentaux, pour la défense de leur dignité et leur honneur et la protection de leurs droits économiques, sociaux, culturels et éducatifs. Ils voulaient, a ajouté l'intervenant, exprimer leur frustration d'être soumis à des arrestations arbitraires, à la détention, à la torture et à d'autres formes de violations des droits de l'homme et d'être sous le contrô le d'une milice paramilitaire, armée et soutenue par l'Algérie.
Il a rapporté que depuis le 5 mars 2011, les jeunes sahraouis vivent dans la peur qui leur est imposée par les dirigeants du Polisario, qui ordonnent la surveillance de leurs réunions et les menacent contre toute tentative de révolte dans les camps de Tindouf.
Cette situation demeure une source de préoccupation majeure pour notre organisation et ces jeunes, dont la voix ne peut pas être entendue comme le font les autres jeunes dans les pays voisins, attendent du Conseil des droits de l'homme une attention particulière à leur situation, afin de leur permettre de bénéficier de leurs droits fondamentaux et des libertés dont ils sont privés, a souligné M. El Bachir.
L'ONG a appelé le Conseil à oeuvrer à la levée des restrictions au droit à la liberté d'expression et de réunion pacifique imposées dans les camps du Polisario, à Tindouf. Elle a aussi invité l'Algérie à respecter le droit de ces jeunes de manifester pacifiquement et à leur permettre de quitter librement les camps de détention pour s'unir avec leurs familles.
Récemment, des jeunes sahraouis qui avaient l'intention de manifester pour demander de meilleures conditions de vie et le droit de choisir librement leur lieu de résidence ont été brutalement dispersées par les milices du Polisario, a indiqué M. Dahy El Bachir, qui s'exprimait au nom de cette ONG, en plénière de la 17ème session du Conseil.
L'ONG a fait remarquer que ces jeunes entendaient militer pour leurs droits fondamentaux, pour la défense de leur dignité et leur honneur et la protection de leurs droits économiques, sociaux, culturels et éducatifs. Ils voulaient, a ajouté l'intervenant, exprimer leur frustration d'être soumis à des arrestations arbitraires, à la détention, à la torture et à d'autres formes de violations des droits de l'homme et d'être sous le contrô le d'une milice paramilitaire, armée et soutenue par l'Algérie.
Il a rapporté que depuis le 5 mars 2011, les jeunes sahraouis vivent dans la peur qui leur est imposée par les dirigeants du Polisario, qui ordonnent la surveillance de leurs réunions et les menacent contre toute tentative de révolte dans les camps de Tindouf.
Cette situation demeure une source de préoccupation majeure pour notre organisation et ces jeunes, dont la voix ne peut pas être entendue comme le font les autres jeunes dans les pays voisins, attendent du Conseil des droits de l'homme une attention particulière à leur situation, afin de leur permettre de bénéficier de leurs droits fondamentaux et des libertés dont ils sont privés, a souligné M. El Bachir.
L'ONG a appelé le Conseil à oeuvrer à la levée des restrictions au droit à la liberté d'expression et de réunion pacifique imposées dans les camps du Polisario, à Tindouf. Elle a aussi invité l'Algérie à respecter le droit de ces jeunes de manifester pacifiquement et à leur permettre de quitter librement les camps de détention pour s'unir avec leurs familles.