A l’issue de son conseil national tenu le 3 juin, le Rassemblement pour la culture et la démocratie a chargé la police politique de tous les maux de l’Algérie. Pour le RCD « qu’elle s’appelle MALG, SM ou DRS, la police politique algérienne, faisant de l’armée le levier de la répression et de la corruption, a toujours asservi la nation et met aujourd’hui son destin en péril ».
Au RCD, on fait du de la dissolution du DRS la condition sine qua non d’un renouveau politique dans le pays. Hors cette voie, point de salut pour le parti de Saïd Sadi. La charge est sans nuances. Aux yeux de ce parti de la mouvance démocratique, « l’interventionnisme tentaculaire du DRS neutralise et dégrade tout combat politique régulier. »
Puis, s’adressant au pouvoir « qui fait mine de chercher des propositions politiques pour sortir le pays de la crise, il suffit de rappeler que la dissolution du DRS et l’organisation d’élections conditionnées par un cahier de charges républicain et soumises à une observation internationale massive et qualifiée représentent les préalables incontournables à toute initiative de sauvegarde nationale. »
Le cadastre des accusations est lourd et chargé d’assassinats. Remontant loin dans l’histoire, le RDC rappelle que « toutes les décisions politiques prises actuellement illustrent la volonté de maintenir un statu quo qui dure depuis 1962 ».
Et de s’interroger : « Combien de Abane, de Chabani, de Khider, de Krim, de Mecili et de Boudiaf faut-il encore sacrifier; combien d’avril 80, d’octobre 88 ou de printemps noir faut-il renier; combien de coups d’Etat, de fraudes électorales faut-il endurer ; combien de milliards détournés et de projets réévalués, retardés ou annulés faudra t-il subir pour voir enfin se réaliser l’espoir de Novembre et de la Soummam ? ». Le tableau que dresse le RCD dans sa déclaration est des plus catastrophiques : « Fort d’une cagnotte de 150 milliards de dollars, le pouvoir alterne corruption et répression et s’enlise dans des recettes récurrentes et éculées. ». Aucun secteur n’est oublié. Enfin, le parti appelle ses députés à demeurer au côté des citoyens. Revenant sur l’épisode de la CNCD, le RCD affirme que le pouvoir a eu « recourt à l’infiltration et à la manipulation pour destabiliser l’instance ».
Au RCD, on fait du de la dissolution du DRS la condition sine qua non d’un renouveau politique dans le pays. Hors cette voie, point de salut pour le parti de Saïd Sadi. La charge est sans nuances. Aux yeux de ce parti de la mouvance démocratique, « l’interventionnisme tentaculaire du DRS neutralise et dégrade tout combat politique régulier. »
Puis, s’adressant au pouvoir « qui fait mine de chercher des propositions politiques pour sortir le pays de la crise, il suffit de rappeler que la dissolution du DRS et l’organisation d’élections conditionnées par un cahier de charges républicain et soumises à une observation internationale massive et qualifiée représentent les préalables incontournables à toute initiative de sauvegarde nationale. »
Le cadastre des accusations est lourd et chargé d’assassinats. Remontant loin dans l’histoire, le RDC rappelle que « toutes les décisions politiques prises actuellement illustrent la volonté de maintenir un statu quo qui dure depuis 1962 ».
Et de s’interroger : « Combien de Abane, de Chabani, de Khider, de Krim, de Mecili et de Boudiaf faut-il encore sacrifier; combien d’avril 80, d’octobre 88 ou de printemps noir faut-il renier; combien de coups d’Etat, de fraudes électorales faut-il endurer ; combien de milliards détournés et de projets réévalués, retardés ou annulés faudra t-il subir pour voir enfin se réaliser l’espoir de Novembre et de la Soummam ? ». Le tableau que dresse le RCD dans sa déclaration est des plus catastrophiques : « Fort d’une cagnotte de 150 milliards de dollars, le pouvoir alterne corruption et répression et s’enlise dans des recettes récurrentes et éculées. ». Aucun secteur n’est oublié. Enfin, le parti appelle ses députés à demeurer au côté des citoyens. Revenant sur l’épisode de la CNCD, le RCD affirme que le pouvoir a eu « recourt à l’infiltration et à la manipulation pour destabiliser l’instance ».