Le projet marocain d'autonomie est une initiative importante susceptible de mettre un terme définitif au problème du Sahara, à condition que les parties concernées (l'Algérie et le polisario) se mettent autour de la table, a affirmé, mercredi à Rabat, le président du groupe d'amitié franco-marocaine à l'Assemblée nationale française, M. Jean Roatta.
«Le projet marocain, qui a été soutenu à l'ONU, est une bonne décision et on s'aperçoit qu'il y a une unanimité de tous les groupes parlementaires marocains concernant la question du Sahara pour trouver une solution rapide à ce conflit», a affirmé à la MAP M. Roatta, à l'issue d'une rencontre entre des membres marocains et français du groupe d'amitié.
Il a également indiqué que l'objectif de la visite de la délégation parlementaire française est «de soutenir le Maroc dans l'affaire du Sahara et de s'informer auprès des partis marocains sur les événements de Laâyoune».
M. Roatta a souligné, en outre, l'importance de promouvoir la coopération décentralisée entre les parlementaires marocains et français, plaidant pour le renforcement des échanges de visites entre les deux groupes.
De leur cô té, les membres marocains du groupe d'amitié ont exposé les derniers développements de la question de l'intégrité territoriale du Royaume, soulignant que l'initiative d'autonomie constitue un levier essentiel pour la sécurité, la stabilité et le développement, à la fois, de la région du Maghreb et de la Méditerranée.
Après s'être félicité de l'excellence des relations «étroites et sincères» entre Rabat et Paris sur tous les plans, les députés marocains ont salué le soutien de la France aux efforts visant à parvenir à une solution juste et durable au conflit du Sahara.
Ils ont également formé le vœu de se rendre au Parlement français pour expliquer aux députés français l'initiative marocaine d'autonomie, en tant que solution où il n'y a ni vainqueur ni vaincu.
Les deux parties ont par ailleurs mis l'accent sur l'importance de l'Union pour la Méditerranée qui offre une chance pour la stabilité et le développement de la région, relevant que ce projet ne peut aboutir sans un Maghreb uni, un idéal qui reste entravé par le conflit autour du Sahara.
En visite dans le Royaume du 25 au 29 janvier, les membres de la délégation parlementaire française s'étaient entretenus auparavant avec plusieurs hauts responsables marocains.
«Le projet marocain, qui a été soutenu à l'ONU, est une bonne décision et on s'aperçoit qu'il y a une unanimité de tous les groupes parlementaires marocains concernant la question du Sahara pour trouver une solution rapide à ce conflit», a affirmé à la MAP M. Roatta, à l'issue d'une rencontre entre des membres marocains et français du groupe d'amitié.
Il a également indiqué que l'objectif de la visite de la délégation parlementaire française est «de soutenir le Maroc dans l'affaire du Sahara et de s'informer auprès des partis marocains sur les événements de Laâyoune».
M. Roatta a souligné, en outre, l'importance de promouvoir la coopération décentralisée entre les parlementaires marocains et français, plaidant pour le renforcement des échanges de visites entre les deux groupes.
De leur cô té, les membres marocains du groupe d'amitié ont exposé les derniers développements de la question de l'intégrité territoriale du Royaume, soulignant que l'initiative d'autonomie constitue un levier essentiel pour la sécurité, la stabilité et le développement, à la fois, de la région du Maghreb et de la Méditerranée.
Après s'être félicité de l'excellence des relations «étroites et sincères» entre Rabat et Paris sur tous les plans, les députés marocains ont salué le soutien de la France aux efforts visant à parvenir à une solution juste et durable au conflit du Sahara.
Ils ont également formé le vœu de se rendre au Parlement français pour expliquer aux députés français l'initiative marocaine d'autonomie, en tant que solution où il n'y a ni vainqueur ni vaincu.
Les deux parties ont par ailleurs mis l'accent sur l'importance de l'Union pour la Méditerranée qui offre une chance pour la stabilité et le développement de la région, relevant que ce projet ne peut aboutir sans un Maghreb uni, un idéal qui reste entravé par le conflit autour du Sahara.
En visite dans le Royaume du 25 au 29 janvier, les membres de la délégation parlementaire française s'étaient entretenus auparavant avec plusieurs hauts responsables marocains.