Cette ville de la wilaya de Tizi-ouzou est située à 11 km du centre-ville et à environ 90 km à l’est d’Alger. Elle avait tout pour devenir un pôle industriel, commercial et agricole, mais les dirigeants successifs en ont fait une ville sans aucune âme, ni vocation.
J’ai grandi dans cette ville et je l’ai vue se dégrader à une vitesse vertigineuse sans que personne ne bouge le moindre petit doigt.
Les aires de jeux, les espaces verts, et les terres agricoles ont été cédés à la mafia du bâtiment pour les transformer en coopératives sans aucun plan d’aménagement et au mépris de ses habitants qui se battent pour préserver un semblant de cadre de vie agréable. Vous entrez à la mairie à vos risques et périls
Au-delà des paysages et des scènes dramatiques qu’on observe dans beaucoup de villes algériennes, j’ai été surpris lors de mes multiples visites au service d’état civil que cette administration, qui est normalement au service des citoyens, est prise en otage par une poignée de « chouakers » qui pensent que cette institution publique est un bien privé, légué par leurs parents.
Entre les livrets de famille qui passent par la porte de derrière pendant que les citoyens font la queue de façon anarchique et les agents administratifs qui hurlent sur les administrés, ou qui sont occupés à discuter au téléphone, on a vraiment l’impression d’être dans une cours de récréation. Il ne faut surtout pas oser leur faire une remarque
Quand j’ai tenté à quelques reprises de leur expliquer qu’ils n’ont pas le droit de traiter les citoyens avec autant de mépris, ou quand j’ai interpellé un responsable sur les livrets de famille et les cartes d’identité qui passent derrière le comptoir, les réactions violentes ne tardent jamais à venir. Bla mzeytek !
J’en ai même fait encore l’expérience hier où j’ai été confronté à une énergumène sans aucune éducation qui n’a pas apprécié que je lui fasse remarqué, gentiment, qu’il y avait une queue et qu’il se devait de la respecter. Ce vieux dinosaure de la mairie n’a pas hésité à faire le tour du comptoir pour en venir aux mains. Il m’a rappelé nos bagarres d’enfants quand les pseudos « redjla » n’agressaient les autres que quand ils savent qu’il y a des gens qui vont intervenir pour les séparer. J’ai continué à déguster mon café avec un petit sourire et le coeur serré de constater qu’un individu pareil pouvait occuper un poste de responsabilité.
Je dirais à ce personnage, encore une fois, Bla mzeytek ! Appel à la population de Drâa Ben Khedda
Cette expérience m’a au moins permis de recueillir de très nombreux témoignages sur les pratiques de certains responsables et surtout d’obtenir des informations compromettantes qui restent à vérifier. Les dossiers sont entre les mains de la rédaction et faites confiance à nos enquêteurs, ils sauront nous confirmer si elles sont fiables.
Je lance un appel à la population de Drâa Ben Khedda en leur demandant d’envoyer à la rédaction du journal toute information susceptible de mettre fin à leurs agissements.
Elite Presse
J’ai grandi dans cette ville et je l’ai vue se dégrader à une vitesse vertigineuse sans que personne ne bouge le moindre petit doigt.
Les aires de jeux, les espaces verts, et les terres agricoles ont été cédés à la mafia du bâtiment pour les transformer en coopératives sans aucun plan d’aménagement et au mépris de ses habitants qui se battent pour préserver un semblant de cadre de vie agréable. Vous entrez à la mairie à vos risques et périls
Au-delà des paysages et des scènes dramatiques qu’on observe dans beaucoup de villes algériennes, j’ai été surpris lors de mes multiples visites au service d’état civil que cette administration, qui est normalement au service des citoyens, est prise en otage par une poignée de « chouakers » qui pensent que cette institution publique est un bien privé, légué par leurs parents.
Entre les livrets de famille qui passent par la porte de derrière pendant que les citoyens font la queue de façon anarchique et les agents administratifs qui hurlent sur les administrés, ou qui sont occupés à discuter au téléphone, on a vraiment l’impression d’être dans une cours de récréation. Il ne faut surtout pas oser leur faire une remarque
Quand j’ai tenté à quelques reprises de leur expliquer qu’ils n’ont pas le droit de traiter les citoyens avec autant de mépris, ou quand j’ai interpellé un responsable sur les livrets de famille et les cartes d’identité qui passent derrière le comptoir, les réactions violentes ne tardent jamais à venir. Bla mzeytek !
J’en ai même fait encore l’expérience hier où j’ai été confronté à une énergumène sans aucune éducation qui n’a pas apprécié que je lui fasse remarqué, gentiment, qu’il y avait une queue et qu’il se devait de la respecter. Ce vieux dinosaure de la mairie n’a pas hésité à faire le tour du comptoir pour en venir aux mains. Il m’a rappelé nos bagarres d’enfants quand les pseudos « redjla » n’agressaient les autres que quand ils savent qu’il y a des gens qui vont intervenir pour les séparer. J’ai continué à déguster mon café avec un petit sourire et le coeur serré de constater qu’un individu pareil pouvait occuper un poste de responsabilité.
Je dirais à ce personnage, encore une fois, Bla mzeytek ! Appel à la population de Drâa Ben Khedda
Cette expérience m’a au moins permis de recueillir de très nombreux témoignages sur les pratiques de certains responsables et surtout d’obtenir des informations compromettantes qui restent à vérifier. Les dossiers sont entre les mains de la rédaction et faites confiance à nos enquêteurs, ils sauront nous confirmer si elles sont fiables.
Je lance un appel à la population de Drâa Ben Khedda en leur demandant d’envoyer à la rédaction du journal toute information susceptible de mettre fin à leurs agissements.
Elite Presse