Alger- La Ligue algérienne pour la défense des droits de l’Homme (LADDH) a “fermement” condamné la dispersion musclée, samedi au centre d’Alger, d’une manifestation contre la candidature du président Abdelaziz Bouteflika à un quatrième mandat au scrutin du 17 avril prochain.
L’ONG, qui exige la libération des personnes arrêtées, estime que “le comportement du pouvoir indique que ce dernier se considère en état de guerre contre la population algérienne et qu’à ce titre l’union la plus large doit se concrétiser pour débarrasser le pays des clans, quels qu’ils soient, qui entrainent le pays à la dérive”.
L’association indique, dans une déclaration, que les forces de l’ordre ont “bouclé toute la zone et embarqué manu militari tous les citoyens et citoyennes venus pour y participer”, en particulier initiateurs de cette action, en plus de son président, Me Salah Dabouz, et un membre de son bureau national.
Dans un communiqué mis en ligne, un candidat indépendant à la présidentielle, l’ancien Premier ministre Ali Benflis, a, pour sa part, dénoncé “avec vigueur les atteintes à la liberté d’expression suites aux manifestations qu’ont connues Alger et différentes villes du pays”.
L’association indique, dans une déclaration, que les forces de l’ordre ont “bouclé toute la zone et embarqué manu militari tous les citoyens et citoyennes venus pour y participer”, en particulier initiateurs de cette action, en plus de son président, Me Salah Dabouz, et un membre de son bureau national.
Dans un communiqué mis en ligne, un candidat indépendant à la présidentielle, l’ancien Premier ministre Ali Benflis, a, pour sa part, dénoncé “avec vigueur les atteintes à la liberté d’expression suites aux manifestations qu’ont connues Alger et différentes villes du pays”.
