Si CSCEC prospère en Algérie, pourtant auprès de la Banque mondiale elle figure tout simplement sur une liste rouge contenant plus d’une centaine de compagnies à travers le monde.
Depuis janvier 2009, le groupe chinois de BTP est interdit de contrats par la BM pour une période de six ans. Cependant, l’entreprise continue de prospérer en Algérie. Son dernier contrat fut le marché accordé par le gouvernement algérien pour la construction du centre international de conférences pour un montant de 688 millions de dollars.
Quelques jours plutôt, CSCEC avait obtenu le marché de la réalisation de la grande mosquée d’Alger pour un milliard d’euros. Il ne faut pas oublier une dizaine de contrats lors des dix années passées.[…]
En effet, depuis janvier 2009, le groupe chinois de BTP est interdit de contrats par la BM pour une période de six ans. Cependant, l'entreprise continue de prospérer en Algérie. Son dernier contrat fut le marché accordé par le gouvernement algérien pour la construction du centre international de conférences pour un montant de 688 millions de dollars. Quelques jours plutôt, CSCEC avait obtenu le marché de la réalisation de la grande mosquée d’Alger pour un milliard d’euros. Il ne faut pas oublier une dizaine de contrats lors des dix années passées.
Si CSCEC prospère en Algérie, auprès de la Banque mondiale elle figure tout simplement sur une liste rouge contenant plus d’une centaine de compagnies à travers le monde.
L’affaire remonte au 14 janvier 2009. Ce jour-là, la Banque mondiale annonçait avoir radié sept entreprises et un individu pour s’être livrés à des pratiques de collusion dans le cadre d’un important projet routier financé par cette institution aux Philippines. Parmi les sanctionnés figurent quatre entreprises chinoises dont la fameuse China State Construction Engineering Corporation; souligne le site algérien DNA.
Cette mesure d’exclusion interdit ainsi à CSCEC de soumissionner pour touts les marchés financés par la Banque mondiale à compter du 12 janvier 2009 jusqu'au 12 janvier 2015. A savoir une période de 6 années.
La décision de radier ces entreprises faisait suite à des investigations menées par le Service de la déontologie institutionnelle (INT) en charge des enquêtes sur les allégations de fraude ou de corruption dans les opérations financées par la Banque mondiale.
En mars 2010, par exemple, les autorités vietnamiennes avaient annulé un contrat de 85 millions de dollar accordé à cette même CSCEC pour le drainage et la mise à niveau du canal Nhieu Loc-Thi Nghe, à Hanoï. Raison invoquée? Le groupe chinois figurait sur la liste noire de la Banque mondiale.
Toutefois, l'entreprise chinoise peut toujours prospérer en Algérie, elle qui est mêlée à des affaires de corruption a même le droit à la construction de la Grande Mosquée.
Depuis janvier 2009, le groupe chinois de BTP est interdit de contrats par la BM pour une période de six ans. Cependant, l’entreprise continue de prospérer en Algérie. Son dernier contrat fut le marché accordé par le gouvernement algérien pour la construction du centre international de conférences pour un montant de 688 millions de dollars.
Quelques jours plutôt, CSCEC avait obtenu le marché de la réalisation de la grande mosquée d’Alger pour un milliard d’euros. Il ne faut pas oublier une dizaine de contrats lors des dix années passées.[…]
En effet, depuis janvier 2009, le groupe chinois de BTP est interdit de contrats par la BM pour une période de six ans. Cependant, l'entreprise continue de prospérer en Algérie. Son dernier contrat fut le marché accordé par le gouvernement algérien pour la construction du centre international de conférences pour un montant de 688 millions de dollars. Quelques jours plutôt, CSCEC avait obtenu le marché de la réalisation de la grande mosquée d’Alger pour un milliard d’euros. Il ne faut pas oublier une dizaine de contrats lors des dix années passées.
L’affaire remonte au 14 janvier 2009. Ce jour-là, la Banque mondiale annonçait avoir radié sept entreprises et un individu pour s’être livrés à des pratiques de collusion dans le cadre d’un important projet routier financé par cette institution aux Philippines. Parmi les sanctionnés figurent quatre entreprises chinoises dont la fameuse China State Construction Engineering Corporation; souligne le site algérien DNA.
Cette mesure d’exclusion interdit ainsi à CSCEC de soumissionner pour touts les marchés financés par la Banque mondiale à compter du 12 janvier 2009 jusqu'au 12 janvier 2015. A savoir une période de 6 années.
La décision de radier ces entreprises faisait suite à des investigations menées par le Service de la déontologie institutionnelle (INT) en charge des enquêtes sur les allégations de fraude ou de corruption dans les opérations financées par la Banque mondiale.
En mars 2010, par exemple, les autorités vietnamiennes avaient annulé un contrat de 85 millions de dollar accordé à cette même CSCEC pour le drainage et la mise à niveau du canal Nhieu Loc-Thi Nghe, à Hanoï. Raison invoquée? Le groupe chinois figurait sur la liste noire de la Banque mondiale.
Toutefois, l'entreprise chinoise peut toujours prospérer en Algérie, elle qui est mêlée à des affaires de corruption a même le droit à la construction de la Grande Mosquée.