Cela fait 5 mois que les algériens scrutent le ciel à Est en espérant voir souffler sur leur patrie le vent des révoltes du printemps arabe. Ils ne craignent pas ce feu follet tourbillonant qui en l'espace de quatre mois vient de rétamer trois despotes arabes.
Au contraire, ils l'invoquent ce vent folâtre, ils le rêvent, il est dans leurs prières, il est omniprésent dans leurs discussions, à chaque moment, à chaque geste, ouvertement et inconsciemment, eux qui ne connaissent que trop bien les dégâts que peuvent occasionner les redoutables vents sahariens. Pourtant ce vent d'Est, sans vouloir l'apprivoiser, ils veulent l'acceuillir à bras ouverts, car ils savent que c'est leur allié et qu'une fois passée la frontière, là-bas en pays frère tunisien, de douce brise de fraicheur aux senteurs de jasmin, il se transformera en tornades rugissantes et vengeresses qui s'abattront en rafales impitoyables sur les palais dorés de la ripouxblique félone pour les réduire en fétus de paille. Puis, incrédules, ils assisteront à des éclairs magnétiques accompagnés par de puissantes décharges de foudre qui pulvériseront la sodatesque des nantis et des harki de la ripouxblique du génocide. Alors, comme par enchantement, ils verront peu à peu, évanescente, se dissoudre au dessus de leurs yeux ébahis la chape de plomb qui les étreignait depuis si longtemps laissant place à de spectaculaires atolls de coraux celestes resplendissants de mille feux scintillants dans la voûte étoilée, puis, ivres de joie dans leur patrie désormais libérée, ils scanderont à perdre haleine : Tahia El djazair Horra ! Adieu Bouteflika ! Adieu DRS !
Au contraire, ils l'invoquent ce vent folâtre, ils le rêvent, il est dans leurs prières, il est omniprésent dans leurs discussions, à chaque moment, à chaque geste, ouvertement et inconsciemment, eux qui ne connaissent que trop bien les dégâts que peuvent occasionner les redoutables vents sahariens. Pourtant ce vent d'Est, sans vouloir l'apprivoiser, ils veulent l'acceuillir à bras ouverts, car ils savent que c'est leur allié et qu'une fois passée la frontière, là-bas en pays frère tunisien, de douce brise de fraicheur aux senteurs de jasmin, il se transformera en tornades rugissantes et vengeresses qui s'abattront en rafales impitoyables sur les palais dorés de la ripouxblique félone pour les réduire en fétus de paille. Puis, incrédules, ils assisteront à des éclairs magnétiques accompagnés par de puissantes décharges de foudre qui pulvériseront la sodatesque des nantis et des harki de la ripouxblique du génocide. Alors, comme par enchantement, ils verront peu à peu, évanescente, se dissoudre au dessus de leurs yeux ébahis la chape de plomb qui les étreignait depuis si longtemps laissant place à de spectaculaires atolls de coraux celestes resplendissants de mille feux scintillants dans la voûte étoilée, puis, ivres de joie dans leur patrie désormais libérée, ils scanderont à perdre haleine : Tahia El djazair Horra ! Adieu Bouteflika ! Adieu DRS !