Le plus grand parc éolien d'Afrique, composé de 165 éoliennes, la plupart d'origine danoise, vient d'être inauguré par le roi Mohammed VI à Melloussa, près de Tanger.
Son financement est assuré par des prêts de la banque espagnole Instituto Credito Official (100 millions d'euros), de la Banque européenne d'investissement (80 millions d'euros), de la banque allemande Kreditanstalt für Wiederaufbau (50 millions d'euros) et de l'Office national de l'électricité (20 millions d'euros).
Ce parc fait partie d'un projet plus vaste qui doit permettre au Maroc d'assurer à l'horizon 2020 42 % de sa production par des énergies renouvelables : 14 % par l'éolien, 14 % par l'hydraulique et 14 % par le solaire . Le coût de l'ensemble de l'opération est estimé à 31,5 milliards de dirhams (3,53 milliards de dollars).
Le projet prévoit la construction de cinq autres parcs éoliens : Tanger II, Koudia El Baida à Tétouan (au centre), Taza, Laâyoune et Boujdour. D'autres projets sont en développement à Tarfaya, Akhgfenir, Laâyoune, Haouma et Tétouan. La proximité de l'Atlantique assure au Maroc de forts vents, sauf dans les régions de Casablanca et d'Agadir (voir la carte de droite).
Ne disposant pas de ressources pétrolières ou gazières, contrairement à ses voisins maghrébins, le Royaume a entrepris de diversifier d'heureuse manière son approvisionnement en énergie et se positionne comme l’un des pays les plus avancés dans le domaine des énergies renouvelables. Son dynamisme dans ce secteur est tout simplement impressionnant !
Son financement est assuré par des prêts de la banque espagnole Instituto Credito Official (100 millions d'euros), de la Banque européenne d'investissement (80 millions d'euros), de la banque allemande Kreditanstalt für Wiederaufbau (50 millions d'euros) et de l'Office national de l'électricité (20 millions d'euros).
Ce parc fait partie d'un projet plus vaste qui doit permettre au Maroc d'assurer à l'horizon 2020 42 % de sa production par des énergies renouvelables : 14 % par l'éolien, 14 % par l'hydraulique et 14 % par le solaire . Le coût de l'ensemble de l'opération est estimé à 31,5 milliards de dirhams (3,53 milliards de dollars).
Le projet prévoit la construction de cinq autres parcs éoliens : Tanger II, Koudia El Baida à Tétouan (au centre), Taza, Laâyoune et Boujdour. D'autres projets sont en développement à Tarfaya, Akhgfenir, Laâyoune, Haouma et Tétouan. La proximité de l'Atlantique assure au Maroc de forts vents, sauf dans les régions de Casablanca et d'Agadir (voir la carte de droite).
Ne disposant pas de ressources pétrolières ou gazières, contrairement à ses voisins maghrébins, le Royaume a entrepris de diversifier d'heureuse manière son approvisionnement en énergie et se positionne comme l’un des pays les plus avancés dans le domaine des énergies renouvelables. Son dynamisme dans ce secteur est tout simplement impressionnant !